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M. Jean-Pierre Decool attire l'attention de M. le ministre de l'éducation nationale, de la jeunesse et des sports à propos de la rentrée des étudiants en faculté.
Si ces derniers et les enseignants se réjouissent pour la plupart de cette nouvelle, ils s'interrogent sur l'opportunité de la vaccination.
Dès lors où nous assistons à de nouveaux phénomènes tels que les virus mutants dont on ignore précisément les effets, le degré de contagion, il paraîtrait pertinent d'élargir la liste des personnes prioritaires, en matière de vaccination contre le Covid-19.
À savoir, toute personne confrontée à un large public.
N'est-ce pas le cas des enseignants et des étudiants ?
Le vice-président de l'université de Lille, à la suite du conseil d'administration du 22 janvier 2021, a souhaité que les étudiants puissent être tous vaccinés pour permettre une rentrée 2021-2022, la plus sereine possible.
Il lui semble nécessaire avant même la rentrée prochaine de vacciner les étudiants mais aussi les enseignants qui vont prendre de véritables risques face à une population devenue porteuse du virus alors qu'elle était, semble-t-il, jusqu'alors relativement épargnée.
Le ministre de l'éducation nationale a plaidé pour cette thèse, notamment le dimanche 3 janvier 2021 sur une chaine de télévision et avait souhaité que les enseignants soient vaccinés avant le mois de mars, soit plus tôt que le calendrier qui avait été retenu initialement. « Les enseignants font partie des professionnels de premier rang, après les personnels soignants. Il y a d'abord les personnes âgées, les soignants, et puis il y a certaines catégories, dont les professeurs font partie » avait-il affirmé.
Il lui demande si ces intentions sont toujours d'actualité et si des précisions ont pu être apportées sur un échéancier de vaccination.
Cette question n'a pas encore de réponse.
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