par email |
M. Hervé Maurey attire l'attention de M. le ministre des solidarités et de la santé, sur la situation des socio-esthéticiens.
Les socio-esthéticiens qui permettent un accompagnement corporel des personnes vulnérables physiquement et psychologiquement souhaiteraient une meilleure reconnaissance de leur profession.
Malgré leur rôle dans le parcours de soins, et une formation spécifique inscrite au répertoire national des certifications professionnelles, ce métier est affilié au code APE (activité principale exercée) de l'esthétique traditionnelle.
Cette affiliation a pour conséquence l'application des mêmes règles que celle valant pour l'esthétique traditionnelle, notamment pendant la période de crise sanitaire.
Un code APE spécifique permettrait selon les socio-esthéticiens un accompagnement plus pertinent, la mise en place de formations complémentaires, l'accès à une responsabilité civile professionnelle adaptée ou encore une prise en charge de leurs prestations par les mutuelles.
Aussi, il lui demande les suites qu'il compte donner à ces demandes des socio-esthéticiens.
Cette question n'a pas encore de réponse.
Aucun commentaire n'a encore été formulé sur cette question.