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M. Philippe Tabarot attire l'attention de M. le ministre des solidarités et de la santé sur l'intérêt de l'arrêté visant à ajouter le cholécalciférol, substance principale de la vitamine D, à la liste des perturbateurs endocriniens.
Le cholécalciférol est considéré par l'Agence européenne des produits chimiques comme nocif a très forte dose. Pourtant, il apparaît qu'il est bénéfique pour le corps humain aux doses autorisées pour la fabrication de compléments alimentaires, tels que la vitamine D.
Or, 70 % des Français souffrent justement d'une déficience en vitamine D, indispensable au bon fonctionnement de l'organisme. Sa consommation est donc considérée par les autorités sanitaires comme un enjeu de santé publique.
Par ailleurs, le secteur des compléments alimentaires connaît une forte croissance économique depuis plusieurs années. Aujourd'hui, il concentre 350 entreprises sur notre territoire, dont 95 % de petites et moyennes entreprises (PME), pour un total de 16 000 emplois, qui risquent d'être impactés par cette décision.
Aussi, il entend connaître sa position sur cette question.
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