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M. Philippe Tabarot attire l'attention de Mme la ministre de la santé et de la prévention sur l'augmentation des cas inquiétants de piqûres dans les boîtes de nuits et les lieux festifs. De nombreux cas de soumissions chimiques par piqûres ont été recensés depuis plus d'un mois sur l'ensemble du territoire national, soumettant les jeunes à une forme de panique générale. À ce jour, en juin 2022, il semblerait que plus d'un millier de plaintes ont été déposées depuis février 2022.
Si les analyses toxicologiques conduites jusqu'à présent ne semblent pas indiquer si des substances nuisibles auraient été injectées, le risque d'infection, lui, est bien réel.
Seulement, qu'il y ait substance ou non, une piqûre reste une effraction cutanée et il est impossible d'exclure qu'une aiguille ait servi à piquer plusieurs personnes, ce qui entraîne beaucoup d'angoisse et de crainte chez les victimes et leur entourage.
Aussi, face à ce phénomène tant sanitaire que sécuritaire, il souhaiterait savoir comment le Gouvernement réagit face à ce problème et les démarches qu'il entreprend en lien avec les autorités sanitaires, de sécurité et les professionnels de l'évènementiel et de la nuit pour prévenir cette menace.
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