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M. Roger Karoutchi attire l'attention de M. le ministre de la santé et de la prévention sur le nécessaire devoir de mémoire au sujet de la terrible épidémie de coronavirus qui traverse notre pays.
En effet, il serait juste de commémorer nos proches qui sont tombés lors des vagues successives. De surcroît, il convient de rappeler que les personnes tombées lors de la première vague n'ont pas bénéficié d'obsèques familiales dignes, en raison des protocoles sanitaires en vigueur à l'époque.
Certes, la pandémie n'est pas finie. Selon toute probabilité, il y aura malheureusement d'autres victimes de la pandémie dans les prochains mois. Néanmoins, l'injustice de quitter un proche dans des conditions indignes nous commande.
Par ailleurs, il ne s'agit par d'imputer la responsabilité de ces morts à une quelconque autorité publique. Il s'agit simplement de réparer le lien familial qui a été éprouvé.
Il souhaite donc qu'il clarifie les mesures qu'il compte mettre en œuvre pour effectuer le devoir de mémoire qui nous incombe.
Cette question n'a pas encore de réponse.
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