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Mme Christine Bonfanti-Dossat attire l'attention de M. le ministre du travail, du plein emploi et de l'insertion sur la situation des assistantes maternelles.
Leur rôle, primordial dans notre société, permettant l'épanouissement des enfants les plus jeunes et le retour au travail de leurs parents, n'est pourtant pas à l'image de la précarité de ce statut finalement mal défini.
La complexité du système administratif et certains mauvais comportements de parents–employeurs peuvent en effet plonger de nombreuses assistantes maternelles dans une précarité rapide.
Elle rappelle qu'en outre les rémunérations demeurent en moyenne basses et les amplitudes horaires déployées parfois très larges pour répondre aux attentes individuelles. De manière générale, cette profession est confrontée à des lourdeurs administratives, à un statut précaire et mal défini ainsi qu'à un manque de reconnaissance.
C'est pourquoi elle lui demande le lancement d'une réflexion sur les mutations nécessaires pour la sécurisation du statut des assistantes maternelles, profession incontournable pour les jeunes enfants mais également pour assurer une vie économique et sociale à de nombreux jeunes parents.
Cette question n'a pas encore de réponse.
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