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Mme Patricia Demas attire l'attention de M. le ministre délégué auprès du ministre de l'économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique, chargé de la transition numérique et des télécommunications sur les formations financées par le plan de relance à destination des entreprises, qui permettent d'expérimenter un usage ou une solution numérique en réponse à un besoin concret comme développer ses ventes, communiquer avec ses clients, trouver de nouveaux clients et les fidéliser, vendre ou proposer ses services à distance, assurer et renforcer sa visibilité sur les réseaux sociaux, créer son site web, mais aussi en termes de gestion, réduire ses coûts, mieux gérer sa trésorerie, gérer ses relations avec ses fournisseurs ou sa banque, améliorer ses processus internes (dont processus de facturation, relance paiements, etc.), gérer ses stocks, gérer son informatique (sécurité, règlement général sur la protection des données -RGPD, cloud, abonnement…), développer ses compétences et celles de ses salariés, notamment.
Il s'agit d'un outil très précieux sur un format court utile aux chefs de petites entreprises, pour développer une activité que la période de crise sanitaire a beaucoup fragilisée.
Or et précisément, pour être éligible la très petite entreprise (TPE) doit avoir au minimum deux ans d'existence légale et réaliser 15 000 euros de chiffre d'affaires annuel. Ces conditions peuvent paraître restrictives précisément dans un contexte d'après crise.
Elle souhaiterait savoir si un assouplissement ne serait pas envisageable pour que les initiatives soient valorisées et soutenues, et à défaut, quel type d'aide les patrons de TPE fragilisées par la crise peuvent solliciter pour répondre à leurs besoins numériques.
Cette question n'a pas encore de réponse.
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