Les amendements de Roger Karoutchi pour ce dossier

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Ayant écouté l’intervention de M. Guillaume, je vais modifier mon intervention. Notre collègue aura au moins influencé une personne, même si cela ne change pas mon vote.

N’ayez aucune crainte à cet égard, madame Khiari. Ce qui change, ce n’est pas ma position ; c’est ma manière d’aborder le problème. Par un seul vote, je vais dire trois fois « non » ! Tout d’abord, et presque tous les orateurs ont soulevé cette question, que vient faire un tel débat au Parlement ?

J’ai défendu la réforme constitutionnelle de 2008 à l’Assemblée nationale et au Sénat. Mon collègue Henri de Raincourt s’est ensuite chargé de la mettre en application. La création des résolutions de l’article 34-1 avait alors suscité un débat. J’entends encore certains députés socialistes – François Hollande n’était alors pas Président de la ...

Je ne soutiens évidemment pas – c’est le moins que l’on puisse dire – le chef de l’État et le Gouvernement. Je les combats !

M. Roger Karoutchi. Mon cher collègue, vos commentaires sont certainement très intéressants, mais veuillez attendre votre tour !

Je reconnais que le Gouvernement, et lui seul, doit avoir la main en matière de diplomatie et d’affaires étrangères. Les parlementaires, indépendamment de leurs qualités – je ne doute pas que tous les sénateurs présents en ont beaucoup -, disposent de beaucoup moins d’informations que le Gouvernement. Une diplomatie secrète est-elle en action ...

Cette organisation existe, et nous ne savons pas comment la traiter. Le président Abbas lui-même ne le sait pas non plus. Oui, il faut prendre des initiatives. Mais ne demandons pas au Gouvernement de reconnaître la Palestine sans se soucier de l’État ou du Gouvernement susceptible d'être mis en place ou même de l’existence d’organisations ter...

Ce qui est devenu la Turquie faisait partie de l’Empire romain ! Tout comme l’Égypte et toute la rive sud de la Méditerranée !