Les amendements de Simon Sutour pour ce dossier
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La situation ne s'améliore pas. Elle s'aggrave, même. C'est désespérant. Je suis allé en Ukraine pour la première fois en 2000 : c'était presque mieux ! Nous avons suivi les épisodes successifs. L'accord d'association, d'abord, qui n'était qu'un accord d'association pour l'Union européenne, mais dans lequel les Ukrainiens ont vu un premier pas ...
Pas comme certains de nos collègues... Au Donbass, la situation est dramatique, faute pour l'État ukrainien de se montrer apte à négocier une solution. Les accords de Minsk avaient ouvert une voie, mais il ne se passe rien, et les deux parties se renvoient la balle, ce qui va aboutir à un conflit gelé de plus, jusqu'au jour où le fait précèdera...
En Ukraine, la langue qui est le plus parlée est le russe, mais on veut leur imposer de parler ukrainien. À Odessa, où je donnais une conférence à l'Alliance française, les étudiants m'ont expliqué qu'ils parlaient russe, mais qu'on leur imposait des cours en ukrainiens. Résultat : les professeurs envoyaient à Kiev des polycopiés en ukrainien, ...