Interventions en commissions de Sophie Primas

N'y a-t-il donc pas de traçabilité fiable de l'exposition ?

Comment est-il assuré ?

Vous mentionnez le plan Écophyto 2018 dans votre étude... Dr Isabelle Baldi. - Il semble qu'il ait ciblé en priorité l'agronomie plus que la santé des utilisateurs. Or c'est crucial. Quinze années d'expérience dans ce secteur permettent d'affirmer que l'indépendance des chercheurs est un point clé. Des pressions de plus en plus fortes s'exer...

Nous émettrons des recommandations en ce sens. Cela fait partie de notre mission. L'indépendance de la recherche est capitale.

La solution n'est sans doute pas franco-française... Merci à tous.

Les membres de la mission d'information souhaitent connaître votre point de vue sur le secteur, très exposé, des fruits et légumes.

Essayez-vous de réduire l'usage des pesticides ?

Qui les a mis au point ?

Avez-vous beaucoup diminué ?

Ce qui veut dire que vous traitez parfois pour rien...

Qu'est-ce qui empêche les agriculteurs conventionnels de passer en bio ?

C'est-à-dire ?

Pouvez-vous préciser ce que vous appelez l'aléa de la culture biologique ? Est-ce affaire de rendements ?

On dit que l'exposition aux pesticides est plus importante en Espagne, notamment dans les serres...

Quel est le degré de conscience des agriculteurs sur la dangerosité des pesticides ?

Dans les maraîchages, chez les riverains, il y a des maladies qui se déclarent...

Ce qui est intéressant, c'est la façon dont vous travaillez ensemble.

Merci.

Comment êtes-vous financés ?

Qu'en est-il des traitements des stockages ?