1918 interventions trouvées.
Nous avons perdu la connexion avec M. Keshmiri. Je cède donc la parole, en attendant, à Aya Himer.
Merci pour cette présentation. Nous sommes de nouveau en ligne avec Maxime Keshmiri, à qui je cède à nouveau la parole.
Après quatorze ans de mandat dans les conseils d'enfants et de jeunes, vous avez encore envie de mener des missions au service de nos concitoyens. Comment faire passer ce message auprès des autres jeunes ?
Existait-il dans votre entourage un contexte particulier favorisant l'engament ?
Mes chers collègues, nous reprenons nos travaux avec quatre membres ou anciens membres de conseils de jeunes, qui se sont rendus disponibles pour échanger avec nous dans le cadre de cette mission d'information dédiée à la redynamisation de la culture citoyenne. Je remercie Marie-Pierre Pernette, déléguée générale de l'Association nationale des...
Nous avons perdu la connexion avec M. Keshmiri. Je cède donc la parole, en attendant, à Aya Himer.
Merci pour cette présentation. Nous sommes de nouveau en ligne avec Maxime Keshmiri, à qui je cède à nouveau la parole.
Après quatorze ans de mandat dans les conseils d'enfants et de jeunes, vous avez encore envie de mener des missions au service de nos concitoyens. Comment faire passer ce message auprès des autres jeunes ?
Existait-il dans votre entourage un contexte particulier favorisant l'engament ?
Mes chers collègues, nous reprenons nos travaux ce matin avec une table ronde associant des élus locaux qui nous ont fait l'amitié et l'honneur de venir échanger avec nous. Pour l'information de nos invités, je précise que notre mission d'information s'est mise en place dans le cadre du « droit de tirage des groupes », à l'initiative du groupe...
Nous avons un problème de connexion avec Mme Barbier. Je donne tout de suite la parole à Benjamin Flohic et je la rendrai à Mme Barbier, lorsqu'elle aura pu se reconnecter.
Je retiens de vos interventions le foisonnement des initiatives dans les collectivités locales. Je rappelle qu'il a fallu modifier la Constitution pour instaurer des quotas sur les listes électorales. La question se pose différemment pour les jeunes, parce que la différence se ferait selon l'âge. Je signale enfin que les sénateurs sont élus p...
Il est vrai qu'on ne se projette pas nécessairement dans l'action publique. Il faut avoir envie de participer. En tout cas, il ne faut pas faire appel à des jeunes pour la seule raison qu'ils sont jeunes ! Il est clair que nous avons encore du travail à faire sur le statut de l'élu, que celui-ci travaille ou étudie en parallèle de son mandat. ...
Je prends un exemple un peu caricatural. À l'une des premières réunions du conseil municipal des jeunes que j'ai installé dans la commune dont j'étais maire, Montreuil-Juigné - un peu plus de 7 000 habitants -, les élèves qui étaient là ont proposé la construction d'un hôpital et d'un aéroport... Il y a donc parfois une déconnexion entre les at...
Je vous remercie. Ce point de l'ordre du jour a fait l'objet d'une captation vidéo qui est disponible en ligne sur le site du Sénat.
Mes chers collègues, nous entendons cet après-midi M. Vincent Séguéla, secrétaire général de la Fédération Léo Lagrange, que je remercie pour sa présence parmi nous. Pour votre information, Monsieur le Secrétaire général, je précise que notre mission d'information s'est mise en place dans le cadre de ce que l'on appelle le « droit de tirage »,...
Lorsque vous agissez dans le cadre d'une délégation de service public, vos interlocuteurs vous identifient-ils bien comme acteur d'une politique publique ? Les salariés et bénévoles d'un centre social de quartier prioritaire ont-ils le réflexe de rappeler, notamment aux jeunes, qu'ils bénéficient de ce centre parce que des élus ont décidé la cr...
Lorsqu'un centre social est géré par le biais d'une DSP, cela peut alimenter la croyance selon laquelle les élus ne font rien. Les DSP fonctionnent très bien, mais il faudrait insister sur le fait qu'il ne s'agit pas de structures indépendantes, mais de structures mandatées par des élus, qui participent aux politiques publiques.
La conscience de l'importance d'une formation des jeunes au débat a probablement présidé partiellement à la récente réforme du baccalauréat, le manque de formation des jeunes à l'argumentation constituant l'une des déficiences de notre système éducatif. Il faudrait idéalement pouvoir impliquer tout le monde dans cette formation, chaque cerveau...
Ils font néanmoins la démarche de s'y rendre.