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Interventions en commissions d'Adeline Gousseau


8 interventions trouvées.

a attiré l'attention de M. Michel Barnier sur les producteurs spécialisés de fruits et légumes, qui étaient d'importants employeurs de main-d'oeuvre. Se réjouissant de la diminution des cotisations sur les heures supplémentaires, elle a souligné les difficultés climatiques actuelles, en particulier pour les producteurs de tomates et de pommes d...

a regretté le manque de soutien à la promotion et à la consommation de viande ovine, ce dont a convenu M. François Prevost.

A Mme Adeline Gousseau, qui l'avait interrogé sur le nombre de races de mouton, M. Emmanuel Coste a répondu qu'il en existait 54, pour 110 types génétiques.

ayant fait remarqué l'absence de viande ovine dans les plats cuisinés, M. Emmanuel Coste a convenu qu'il serait opportun pour la filière d'investir sur ce marché, comme avait su le faire la filière veau.

a souhaité savoir, d'une part, si une relance du projet Rhin-Rhône ou Rhin-Saône était envisagée et, d'autre part, comment l'AFITF maintiendrait son niveau d'investissement à partir de 2008, lorsque le produit des cessions de sociétés d'autoroutes, qui représentait 65 % du budget de l'agence en 2007, aurait été consommé. Enfin, elle a demandé s...

Après avoir remercié, à titre liminaire, M. Daniel Soulage, président de la section « Fruits et légumes », de sa participation à nombre des auditions menées dans le cadre de l'instruction du rapport, Mme Adeline Gousseau, rapporteur, a d'abord évoqué les atouts et la place socio-économique significative de la filière arboricole, rappelant que l...

a alors apporté les éléments de réponse suivants : - le virus sharka constitue une réelle menace pour les vergers, qu'il serait opportun que des organismes de recherche tels que l'Institut national de recherche agronomique (INRA) prennent en compte dans leurs travaux ; - la pêche est un produit fragile à la maturation délicate, et de ce fait ...

Préconisant elle aussi un langage de vérité, Mme Adeline Gousseau a toutefois relevé que les jeunes agriculteurs pouvaient manquer de perspectives, en particulier face à la montée du « péril urbain », particulièrement net en Ile-de-France où la surface agricole était en constante diminution.