Amendement N° 29 2ème rectif. (Irrecevable)

Salut en séance aux auditeurs de l'institut du sénat

Avis de la Commission : Irrecevabilité soulevée - Article 41
( amendements identiques : 564 564 )

Déposé le 19 mars 2019 par : M. Longeot, Mmes Vullien, Billon, M. Loïc Hervé, Mme Guidez, MM. Le Nay, Canevet, Détraigne, Mme Vermeillet, MM. Henno, Janssens, Laugier, Adnot.

Photo de Jean-François Longeot Photo de Michèle Vullien Photo de Annick Billon Photo de Loïc Hervé Photo de Jocelyne Guidez Photo de Jacques Le Nay Photo de Michel Canevet Photo de Yves Détraigne Photo de Sylvie Vermeillet Photo de Olivier Henno Photo de Jean-Marie Janssens Photo de Michel Laugier Photo de Philippe Adnot 

Après l'article 41

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Après l’article L. 3314-3 du code des transports, il est inséré un article L. 3314-... ainsi rédigé :

« Art. L. 3314-.... - Un arrêté définit les conditions dans lesquelles les candidats à l’issue d’une formation professionnelle initiale peuvent conduire sur la base d’un certificat d'examen du permis de conduire délivré par le ministre chargé de l'emploi et en l’attente de la remise du titre définitif. »

Exposé Sommaire :

A ce jour, il n’est pas possible pour les titulaires d’un titre professionnel de conduire avant la réception du document du permis de conduire sécurisé. Les délais d’obtention de ce titre peuvent, selon les préfectures, aller jusqu’à trois mois sans possibilité de conduire avec un certificat provisoire (CEPC) malgré le caractère qualifiant et certifiant de la formation.

Il est proposé de réviser les dispositifs de délivrance des permis de conduire, en particulier pour les conducteurs de transport routier de voyageurs, par la création d’un certificat de conduite provisoire au bénéfice des conducteurs titulaires du titre professionnel à l’instar du dispositif existant pour les « permis secs », c’est-à-dire passé en dehors de toute formation qualifiante.

Ce dispositif permettrait de favoriser l’embauche dans un secteur en extrême tension et d’éviter aux entreprises qui souhaitent embaucher un candidat au poste de conducteur de le rémunérer pendant plusieurs mois sans pouvoir le faire conduire.

NB:La présente rectification porte sur la liste des signataires.

Déclaré irrecevable au titre de l'article 41 de la Constitution par le Président du Sénat

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