Amendement N° 704 2ème rectif. (Retiré)

Salut en séance aux auditeurs de l'institut du sénat

Discuté en séance le 26 mars 2019
Avis de la Commission : Demande de retrait — Avis du Gouvernement : Défavorable
( amendements identiques : 21 )

Déposé le 19 mars 2019 par : M. Piednoir, Mmes Deroche, Deromedi, Lavarde, M. Vaspart, Mmes Garriaud-Maylam, Marie Mercier, M. Husson, Mme Laure Darcos, M. Henri Leroy, Mme de Cidrac, MM. Segouin, Daniel Laurent, Brisson, Mmes Bonfanti-Dossat, Lassarade, M. Charon, Mme Gruny, MM. Saury, Priou, Grand, Mmes Lamure, Duranton, Billon.

Photo de Stéphane Piednoir Photo de Catherine Deroche Photo de Jacky Deromedi Photo de Christine Lavarde Photo de Michel Vaspart Photo de Joëlle Garriaud-Maylam Photo de Marie Mercier Photo de Jean-François Husson Photo de Laure Darcos Photo de Henri Leroy Photo de Marta de Cidrac Photo de Vincent Segouin 
Photo de Daniel Laurent Photo de Max Brisson Photo de Christine Bonfanti-Dossat Photo de Florence Lassarade Photo de Pierre Charon Photo de Pascale Gruny Photo de Hugues Saury Photo de Christophe Priou Photo de Jean-Pierre Grand Photo de Élisabeth Lamure Photo de Nicole Duranton Photo de Annick Billon 

Après l'article 15 bis

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le VII de l’article L. 2333-87 du code général des collectivités territoriales est complété par deux alinéas ainsi rédigés :

« Lorsque, dans le cadre d’une location ou d’un prêt de courte durée, le professionnel de l’automobile titulaire du certificat d’immatriculation est en mesure de fournir des éléments permettant l’identification du client, celui-ci est substitué au titulaire dudit certificat dans la mise en œuvre des dispositions prévues aux II et IV du présent article.
« Le professionnel de l’automobile mentionné à l’alinéa précédent se définit comme tout professionnel dont l’activité est de proposer des véhicules à la location de courte durée, à titre onéreux et dans le cadre d’un contrat ou encore, tout professionnel qui prête à titre gracieux ou onéreux des véhicules à ses clients durant le temps des réparations ou du contrôle de leur véhicule. »

Exposé Sommaire :

Depuis le 1erjanvier 2018, le stationnement payant est dépénalisé et décentralisé. Le défaut de paiement du stationnement n’est plus sanctionné par une amende pénale, mais par l’acquittement d’une redevance d’occupation du domaine public. En l’absence de paiement ou en cas de paiement insuffisant, le titulaire du certificat d’immatriculation du véhicule concerné doit s’acquitter d’un forfait post-stationnement.

Cette réforme pénalise actuellement les acteurs de la mobilité partagée, notamment les entreprises de location de véhicules. Elle ne permet pas à ces opérateurs de désigner leurs clients, seuls conducteurs responsables du non-paiement du stationnement, alors que c’était le cas auparavant.

Le présent amendement permet donc de rétablir une égalité de traitement vis-à-vis des loueurs longue durée mais également de mettre fin au sentiment d’impunité des clients ne payant pas volontairement leur forfait de stationnement.

NB:La présente rectification porte sur la liste des signataires.

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