Déposé le 15 février 2021 par : Mmes Cohen, Apourceau-Poly, les membres du groupe communiste républicain citoyen, écologiste.
Au début
Insérer un paragraphe ainsi rédigé :
… – La seconde phrase du premier alinéa de l’article L. 6143-2-1 du code de la santé publique est complétée par les mots : «, et la lutte contre les comportements sexistes, racistes et homophobes » .
Les comportements sexistes, racistes et homophobes en médecine existent encore malheureusement et doivent cesser.
Selon, plusieurs thèses de médecine générale, 93% des étudiantes en médecine générale déclarent avoir subi des violences psychologiques, 53% des violences sexuelles et sexistes, 49% des violences physiques et 20% un bizutage.
Il faut mettre un terme au comportement de la minorité qui jette l’opprobre sur la majorité des personnels hospitaliers et que cette lutte fasse partie intégrante des objectifs du projet social de l’établissement.
Tel est l'objectif de cet amendement.
1 commentaire :
Le 17/07/2022 à 12:31, aristide a dit :
"Selon, plusieurs thèses de médecine générale, 93% des étudiantes en médecine générale déclarent avoir subi des violences psychologiques, 53% des violences sexuelles et sexistes, 49% des violences physiques et 20% un bizutage."
Et moi qui croyais que les médecins étaient des citoyens éclairés et humanistes... et non pas des brutes épaisses pratiquant l'humiliation de l'autre pour mieux se positionner socialement, je suis déçu. Sans doute font-ils trop de sciences, cela développe en eux un complexe de supériorité nourrissant des tendances agressives, cela devrait être étudier en psychiatrie, par des psychiatres exempts de ces tendances agressives, si cela se trouve.
Ou alors la sur-sélection en 1ère année de médecine leur fait considérer la vie comme un exercice d'élimination de l'autre, avec toutes les dérives agressives psychologiques inconscientes que cela entraîne et dont les femmes sont les premières victimes ensuite.
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