Déposé le 27 juin 2023 par : MM. Bonneau, Jean-Michel Arnaud, Mmes Frédérique Gerbaud, Billon, MM. Levi, Le Nay, Mmes Saint-Pé, Ract-Madoux, MM. Kern, Détraigne, Duffourg, Mme Gatel, MM. Alain Marc, Belin.
Alinéa 52, tableau
1° Quatrième colonne, cinquantième ligne
Remplacer le nombre :
36
par le nombre :
34
2° Cinquième colonne, cinquantième ligne
Remplacer le nombre :
48
par le nombre :
46
3° Troisième colonne, cinquante-sixième ligne
Après le mot :
MALE
insérer les mots :
micro-drones
4° Quatrième colonne, cinquante-sixième ligne
Après le mot :
Reaper
insérer les mots :
+ 200 micro-drones simples et armées
5° Cinquième colonne, cinquante-sixième ligne, et sixième colonne, cinquante-cinquième ligne
Après le mot :
EuroMALE
insérer les mots :
+ 300 micro-drones simples et armés
Comme l’a mis en lumière le rapport d’information N° 711 “Se préparer à la “guerre des drones” : un enjeu stratégique”, la généralisation de l’usage des drones dans le cadre de guerres civiles (Libye, Syrie), mais également de conflits symétriques de haute intensité (Ukraine) nous contraint à conforter et à étendre la capacité “drones” de nos forces armées. Ces derniers sont devenus un outil indispensable du champ de bataille tant au “contact” qu’en profondeur.
Afin de maintenir notre supériorité aérienne face aux concurrents (États-Unis, Turquie, Israël, Iran), les drones pourraient être utilisés à la place ou en complément des moyens aériens classiques pour pénétrer des défenses aériennes ennemies de plus en plus robustes.
A cet égard, en plus de l’utilisation des systèmes de drones MALE, l’Armée de l’air et de l’Espace doit amplifier sa dotation en drones bon marché “sacrifiables” de petite taille, armés et ou non, afin de s’adapter aux nouveaux modes opératoires des conflits de haute intensité.
NB:La présente rectification porte sur la liste des signataires.
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