Interventions d'Arnaud Bazin

J'ajouterai une question transversale : en quoi le mécénat de compétences est-il plus encadré que le pro bono, qui est désormais assez contesté ?

D'après vous, cela concernait donc le donneur d'ordre...

Pouvez-vous nous rappeler votre position sur le pro bono ?

Je vous remercie pour cette longue audition, la dernière de notre commission d'enquête en formation plénière. Nous remercions très sincèrement tous ceux qui ont suivi nos auditions, en présentiel ou à distance. Je donne rendez-vous à mes collègues mi-mars pour l'examen du rapport avec des échanges, je n'en doute pas, nourris. La réunion est...

Mes chers collègues, nous poursuivons les travaux de notre commission d'enquête sur les cabinets de conseil avec une table ronde des écoles du service public. Nous recevons M. Laurent Chambaud, directeur de l'École des hautes études en santé publique (EHESP), M. Éric Labaye, président de l'École polytechnique, Mme Maryvonne Le Brignonen, direc...

Je vais à présent demander à présent à Mme Le Brignonen de prêter serment. Conformément à la procédure applicable aux commissions d'enquête, Mme Maryvonne Le Brignonen prête serment.

Il faudra que votre secrétaire général vous fournisse quelques renseignements en aparté, car vous êtes la seule à pouvoir vous exprimer après avoir prêté serment. C'est la règle des commissions d'enquête. Je me tourne à présent vers M. Vicherat, à qui je rappelle que tout faux témoignage est susceptible de sanctions pénales pouvant aller, selo...

Est-ce en open data sur le site de l'École polytechnique ?

Que recherchent vos partenaires à travers ces partenariats ? Quel est leur intérêt ?

Cela contribue également à une certaine notoriété chez les élèves.

C'est lié au fait que 70 places sont offertes par l'État ?

Avez-vous des partenariats avec des chaires qui, comme dans le cadre de l'École polytechnique, seraient l'objet de mécénat ?

Les partenariats que vous avez évoqués sont donc destinés à répondre à des appels d'offres par l'intermédiaire de cabinets privés, c'est bien cela ?

Monsieur Chambaud, avez-vous quelques éléments à ce sujet ?

L'organisation actuelle ne vous paraît-elle pas satisfaisante ?

Il existe donc aujourd'hui une obligation de remboursement, mais pas de dispositif de suivi ?

C'est surprenant !

Ils sont ensuite fonctionnaires. C'est à la fonction publique hospitalière de suivre leur carrière. À votre connaissance, l'administration est-elle en situation de le faire ?

Peut-on avoir un ordre de grandeur du chiffre d'affaires que représentent ces prestations ?

Vous ne le connaissez pas en cet instant ?