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Interventions en commissions de Bernard Cazeau


1693 interventions trouvées.

J'estime un peu drastique la proposition n° 51 qui tend à interdire les visites médicales.

J'estime un peu drastique la proposition n° 51 qui tend à interdire les visites médicales.

Par ailleurs, il est impossible de « ne plus délivrer » un diplôme qui n'existe pas : après une formation, les intéressés reçoivent une simple aptitude à exercer, selon un dispositif comparable à celui en vigueur pour l'assurance.

Par ailleurs, il est impossible de « ne plus délivrer » un diplôme qui n'existe pas : après une formation, les intéressés reçoivent une simple aptitude à exercer, selon un dispositif comparable à celui en vigueur pour l'assurance.

Mais ils sont utiles en suscitant un échange intéressant. De plus, les visiteurs médicaux sont inquiets pour leur emploi. Je propose de fusionner les propositions n° 51 et 52.

Mais ils sont utiles en suscitant un échange intéressant. De plus, les visiteurs médicaux sont inquiets pour leur emploi. Je propose de fusionner les propositions n° 51 et 52.

Celui qui vient de commencer à l'âge de trente ans fera encore de la promotion de médicaments pendant trente-cinq années !

Celui qui vient de commencer à l'âge de trente ans fera encore de la promotion de médicaments pendant trente-cinq années !

Pourtant, la proposition n° 51 confie leur formation et leur gestion à la HAS.

Pourtant, la proposition n° 51 confie leur formation et leur gestion à la HAS.

Ces nouveaux agents de la HAS seront des fonctionnaires supplémentaires. Qui les paiera ? Par ailleurs, le dispositif proposé est très vague pour les trente-cinq ans à venir. Aujourd'hui, les visiteurs médicaux présentent aux médecins les produits des laboratoires qui les emploient. Ensuite, les praticiens font ce qu'ils veulent.

Ces nouveaux agents de la HAS seront des fonctionnaires supplémentaires. Qui les paiera ? Par ailleurs, le dispositif proposé est très vague pour les trente-cinq ans à venir. Aujourd'hui, les visiteurs médicaux présentent aux médecins les produits des laboratoires qui les emploient. Ensuite, les praticiens font ce qu'ils veulent.