Les amendements de Bruno Retailleau pour ce dossier

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L'article 3, monsieur le ministre, est la clé de voûte de la LPM. Si j'ai souhaité prendre la parole, c'est à la fois pour vous répondre, pour répondre à l'article de ce matin, que nous avons tous lu, pour répondre aux propos que vous avez tenus tout à l'heure, mais aussi pour préciser notre pensée, pour aujourd'hui et pour demain, dans la per...

M. Bruno Retailleau . Par conséquent, mes chers collègues, nous modifions le cadencement, mais nous restons dans l'enveloppe définie à Mont-de-Marsan par le Président de la République. Je tenais à le dire solennellement.

L’article 3, monsieur le ministre, est la clé de voûte de la LPM. Si j’ai souhaité prendre la parole, c’est à la fois pour vous répondre, pour répondre à l’article de ce matin, que nous avons tous lu, pour répondre aux propos que vous avez tenus tout à l’heure, mais aussi pour préciser notre pensée, pour aujourd’hui et pour demain, dans la per...

L’article 3, monsieur le ministre, est la clé de voûte de la LPM. Si j’ai souhaité prendre la parole, c’est à la fois pour vous répondre, pour répondre à l’article de ce matin, que nous avons tous lu, pour répondre aux propos que vous avez tenus tout à l’heure, mais aussi pour préciser notre pensée, pour aujourd’hui et pour demain, dans la per...

M. Bruno Retailleau. Par conséquent, mes chers collègues, nous modifions le cadencement, mais nous restons dans l’enveloppe définie à Mont-de-Marsan par le Président de la République. Je tenais à le dire solennellement.

Nous sommes sur un point dur du texte. Lors de son discours à Mont-de-Marsan, le Président de la République a annoncé une enveloppe de 413 milliards d'euros. Le problème, ce sont les 13 milliards. Seuls 5, 9 milliards d'euros sur ces 13 milliards sont sécurisés, le président Cambon l'a très bien dit. On bute sur 7, 4 milliards d'euros. Ces 7,...

Nous sommes d'accord. Le problème, monsieur le ministre, c'est que vous comptez aussi bien le report de charges, donc la dépense différée, et la marge frictionnelle, donc les crédits non consommés, comme des ressources. Le compte ne peut donc pas y être ! L'enveloppe est donc sans doute d'un peu plus de 400 milliards d'euros, mais certainemen...

Monsieur le ministre, je suis sincère, et vous le savez. Nous avons eu ensemble une discussion sur cette question – j'essaie d'être droit dans la vie publique comme dans la vie privée – et je ne vous prends pas en traître : nous avons inscrit au premier alinéa de l'article 3 une enveloppe de 413 milliards d'euros. Voilà !

Nous sommes sur un point dur du texte. Lors de son discours à Mont-de-Marsan, le Président de la République a annoncé une enveloppe de 413 milliards d’euros. Le problème, ce sont les 13 milliards. Seuls 5, 9 milliards d’euros sur ces 13 milliards sont sécurisés, le président Cambon l’a très bien dit. On bute sur 7, 4 milliards d’euros. Ces 7,...

Nous sommes d’accord. Le problème, monsieur le ministre, c’est que vous comptez aussi bien le report de charges, donc la dépense différée, et la marge frictionnelle, donc les crédits non consommés, comme des ressources. Le compte ne peut donc pas y être ! L’enveloppe est donc sans doute d’un peu plus de 400 milliards d’euros, mais certainemen...

Nous sommes d’accord. Le problème, monsieur le ministre, c’est que vous comptez aussi bien le report de charges, donc la dépense différée, et la marge frictionnelle, donc les crédits non consommés, comme des ressources. Le compte ne peut donc pas y être ! L’enveloppe est donc sans doute d’un peu plus de 400 milliards d’euros, mais certainemen...

Monsieur le ministre, je suis sincère, et vous le savez. Nous avons eu ensemble une discussion sur cette question – j’essaie d’être droit dans la vie publique comme dans la vie privée – et je ne vous prends pas en traître : nous avons inscrit au premier alinéa de l’article 3 une enveloppe de 413 milliards d’euros. Voilà !