Interventions de Bruno Retailleau

M. Bruno Retailleau. Isaac Newton a dit un jour : « Je sais calculer le mouvement des corps pesants, mais pas la folie des foules. » Tenons-le-nous pour dit !

Bien sûr !

Bien sûr !

Je voudrais dire en quelques mots, en avançant des arguments complémentaires, les raisons pour lesquelles je voterai l'amendement présenté par Philippe Bas. De deux choses l'une : soit, comme l'a affirmé le garde des sceaux, le terme « garantie » ne crée pas de « droit absolu, sans limites ou encore opposable ». Mais alors pourquoi y êtes-vous...

Dès lors, en cas de manquement, le garant peut évidemment être mis en cause. Tel est le problème. Notre crainte, mes chers collègues, c'est qu'une jurisprudence créative puisse instaurer un droit opposable. Nul ne peut aujourd'hui garantir, pas même le garde des sceaux, que cela n'arrivera pas demain. En utilisant le mot « garantie », monsieur...

Je voudrais dire en quelques mots, en avançant des arguments complémentaires, les raisons pour lesquelles je voterai l’amendement présenté par Philippe Bas. De deux choses l’une : soit, comme l’a affirmé le garde des sceaux, le terme « garantie » ne crée pas de « droit absolu, sans limites ou encore opposable ». Mais alors pourquoi y êtes-vous...

Dès lors, en cas de manquement, le garant peut évidemment être mis en cause. Tel est le problème. Notre crainte, mes chers collègues, c’est qu’une jurisprudence créative puisse instaurer un droit opposable. Nul ne peut aujourd’hui garantir, pas même le garde des sceaux, que cela n’arrivera pas demain. En utilisant le mot « garantie », monsieur...

Je voudrais dire en quelques mots, en avançant des arguments complémentaires, les raisons pour lesquelles je voterai l’amendement présenté par Philippe Bas. De deux choses l’une : soit, comme l’a affirmé le garde des sceaux, le terme « garantie » ne crée pas de « droit absolu, sans limites ou encore opposable ». Mais alors pourquoi y êtes-vous...

Dès lors, en cas de manquement, le garant peut évidemment être mis en cause. Tel est le problème. Notre crainte, mes chers collègues, c’est qu’une jurisprudence créative puisse instaurer un droit opposable. Nul ne peut aujourd’hui garantir, pas même le garde des sceaux, que cela n’arrivera pas demain. En utilisant le mot « garantie », monsieur...

M. Bruno Retailleau. Pas toujours !

M. Bruno Retailleau. Pas toujours !

Très bien !

Très bien !

Très bien !

Ce n'est pas du tout ce que nous disons !

Ce n’est pas du tout ce que nous disons !

Ce n'est pas une réponse : c'est la loi !

Ce n’est pas une réponse : c’est la loi !

M. Bruno Retailleau. Monsieur le Premier ministre, votre nomination a incontestablement une dimension symbolique. La jeunesse dont vous vous réclamez et que vous revendiquez, l’audace que vous brandissez comme une bannière évoquent dans l’esprit de certains, et peut-être d’abord dans celui du Chef de l’État, les premiers matins ensoleillés d’un...

Mais ces jours-là sont désormais lointains. Nous sommes en hiver. Et face aux crises qui se multiplient et, parfois, s’emboîtent les unes dans les autres, comme la crise de l’agriculture, les Français se soucieront non pas de la portée symbolique d’une nomination, mais de la politique que vous allez mener avec votre gouvernement. Car l’engouem...