Interventions en commissions de Catherine Troendle

Les jeunes ne tombent pas dans la délinquance parce qu'ils sont en rupture scolaire. La cause essentielle : c'est bien que les parents n'ont pas tenu leur rôle d'éducateurs.

Les jeunes ne tombent pas dans la délinquance parce qu'ils sont en rupture scolaire. La cause essentielle : c'est bien que les parents n'ont pas tenu leur rôle d'éducateurs.

Le ministère nous a indiqué qu'il est possible de déroger aux cinq heures et demi.

Le ministère nous a indiqué qu'il est possible de déroger aux cinq heures et demi.

Ce sera une de nos propositions.

Ce sera une de nos propositions.

Plus de souplesse, c'est la demande qui revient dans toutes vos interventions. Nous l'entendons.

Plus de souplesse, c'est la demande qui revient dans toutes vos interventions. Nous l'entendons.

Je vous remercie pour ces échanges très éclairants.

Je vous remercie pour ces échanges très éclairants.

Je m'associe aux propos de Mme Nachury. Sur tous les textes par lesquels nous voulons faire avancer la parité, d'aucuns invoquent des difficultés. Aucune ne peut justifier un retour en arrière. La rédaction de l'Assemblée nationale va dans le bon sens.

Nous accueillons M. Rémy Guilleux, vice-président de l'Union nationale des associations familiales (UNAF), accompagné de Mme Patricia Humann, coordonnatrice du pôle « Education - Petite enfance - Handicap » à l'UNAF.

Nous accueillons M. Rémy Guilleux, vice-président de l'Union nationale des associations familiales (UNAF), accompagné de Mme Patricia Humann, coordonnatrice du pôle « Education - Petite enfance - Handicap » à l'UNAF.

Merci pour cette présentation très vivante et pragmatique, utile à notre mission !

Merci pour cette présentation très vivante et pragmatique, utile à notre mission !

Des parents m'ont dit qu'ils pourraient choisir l'école en fonction des activités périscolaires qu'elle propose : cette évolution serait très inquiétante, car elle menacerait l'existence même de bien des écoles dans de petites communes. Vous êtes pour la gratuité des activités, mais comment les plus petites communes y parviendraient-elles ? Ici...

Des parents m'ont dit qu'ils pourraient choisir l'école en fonction des activités périscolaires qu'elle propose : cette évolution serait très inquiétante, car elle menacerait l'existence même de bien des écoles dans de petites communes. Vous êtes pour la gratuité des activités, mais comment les plus petites communes y parviendraient-elles ? Ici...

Il serait pourtant plus équilibré, pour les enfants, d'aller à l'école le samedi matin plutôt que le mercredi matin...

Il serait pourtant plus équilibré, pour les enfants, d'aller à l'école le samedi matin plutôt que le mercredi matin...

Nous auditionnons M. Jean-Louis Deroussen, président du conseil d'administration de la Caisse nationale des allocations familiales (CNAF), accompagné de M. Daniel Lenoir, directeur de la CNAF et de M. Frédéric Marinacce, directeur des politiques familiales et sociales à la CNAF.