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Le chiffre de 0,1 % a été cité par le rapport Zelnik...
C'est l'équivalent d'une vente ou d'une location pour un film...
Tout à fait ! En un an, on observe déjà des changements profonds.
M. David Assouline. Je ne sais pas qui est agité mais, pour notre part, nous souhaitons pouvoir travailler normalement.
Le groupe socialiste, s'il partage les objectifs de ce texte, le considère insuffisant. Nous proposerons des amendements en séance publique. Nous ne prenons pas part au vote aujourd'hui. L'ensemble de la proposition de loi est adoptée dans la rédaction issue des travaux de la commission.
Par ailleurs, nous apprenons qu’à l’Élysée, M. Guéant…
M. David Assouline. Laissez-moi vous dire, et ce n’est pas une question de gauche ou de droite : quand je suis arrivé dans cet hémicycle en 2004, il était inconcevable – je le répète, inconcevable – que l’on puisse, directement de l’Élysée, décider de la façon dont devait travailler le Sénat. À tout moment, quelqu’un dans vos rangs se serait le...
Nous ne devons pas nous accoutumer à de telles méthodes. Ce que fait M. Guéant est un scandale absolu !
C’était le sens de l’intervention de mon collègue Daniel Raoul.
Il a souligné que tels procédés n’étaient pas acceptables. En plus, c’est le groupe UMP qui ralentit le déroulement de nos travaux en n’assurant même pas sa présence dans l’hémicycle. Madame la présidente, on ne peut pas rabrouer de cette façon notre collègue et lui reprocher d’avoir une attitude agitée, pour ces simples propos. Son interventi...
On va compter !
Nous souhaitons que les résultats soient proclamés !
Et les voix contre, alors ?
Nous aurions été plus vite avec un scrutin public ! Moins on est, plus c’est long !
L’article 33 vise à fixer les dates d’application des dispositions prévues dans ce projet de loi, mais j’attire l’attention de ceux qui n’en seraient pas pleinement conscients sur le fait que les mesures d’âge prendront effet à compter du 1er juillet 2011.
De façon récurrente, vous n’avez cessé de vous référer, monsieur le ministre, mes chers collègues – même si vous le faites moins ! – aux exemples étrangers, voulant démontrer par là même que l’opposition ne regarde pas ce qui se fait ailleurs et vit dans un vase clos.
Permettez-moi, à mon tour, de revenir sur ces exemples. Vous avez cité l’Allemagne et la Suède notamment.
Pour comprendre ce qui se passe en ce moment dans notre pays, l’ampleur du choc que représentent votre réforme et les raisons pour lesquelles vous avez perdu la bataille de l’opinion, remémorons-nous quelques dates et les temps forts de la réforme.
En février, le Gouvernement annonçait qu’il allait faire une réforme, sans plus, n’ayant pas arrêté ses choix. Il faut dire que le Président de la République s’était engagé devant le pays, comme candidat, à ne pas toucher à l’âge légal de la retraite, et il l’avait répété après son élection.
Nos concitoyens en étaient donc restés là. Ensuite, les syndicats l’ont dit, il n’y a eu aucune négociation réelle.