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... la conférence d'Annapolis, de parvenir à un accord de paix avant la fin de l'année 2008. Elle a précisé que la délégation avait alterné entretiens politiques et déplacements de terrain, à Jérusalem Est, Hébron, Ramallah, Bethléem, Naplouse et dans la bande de Gaza, ce dernier territoire faisant l'objet d'un blocus complet de la part des autorités israéliennes, depuis sa prise de contrôle par le Hamas en juin 2007. ben Guiga a indiqué qu'elle s'était également entretenue avec le père du soldat franco-israélien Gilad Shalit retenu en otage par le Hamas et avec les parents du prisonnier franco-palestinien Salah Hammouri, détenu en Israël. La délégation a tout d'abord relevé une très nette dégradation des conditions de vie, en matière de circulation, d'activité économique, et de situation socia...
...enne et de ses responsables, en l'absence de progrès sur le terrain et de percée perceptible dans les négociations, est extrême. La situation politique voit l'affrontement de deux légitimités issues des urnes : celle du président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas, élu en janvier 2005, soutenu par la communauté internationale et dont le mandat expire en janvier prochain, et celle du parti Hamas, sorti démocratiquement vainqueur des élections législatives de janvier 2006 au grand désarroi de cette même communauté internationale. Les prochaines élections législatives devraient avoir lieu en février 2010. Le morcellement des territoires palestiniens résultant de l'augmentation des entraves à la libre circulation des personnes et des marchandises, de l'amplification de la construction des ...
...ur le terrain, la réalité était toute autre : les colonies se développent, le mur se construit, les points de contrôle sont plus nombreux. Il a estimé que les flux de circulation semblaient organisés de sorte que deux populations coexistent sans jamais se croiser. Il a rappelé que le terme du mandat du président de l'Autorité palestinienne ouvrirait une période d'incertitude quant à l'attitude du Hamas.
a considéré que la communauté internationale avait pêché par manque de soutien au président de l'Autorité palestinienne, dont la fin du mandat marquait une étape. Dans un contexte de crise internationale, ce dossier n'apparaissait pas comme prioritaire. Elle a estimé qu'il faudrait bien traiter avec le Hamas pour préserver le principe d'une Autorité palestinienne. Elle a souhaité que le ministre des Affaires étrangères puisse être entendu par la commission sur l'action de la France dans ce conflit.
a indiqué que des partenaires européens de la France entretenaient des contacts avec le Hamas.
a rappelé que le Conseil législatif ne pouvait effectivement pas se réunir et qu'il importait de réintroduire le Hamas dans notre jeu diplomatique.