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a tout d'abord rappelé que les autorités de tutelle n'avaient pas pris, dans le passé, toute la mesure des mutations de l'environnement médiatique dans lequel évoluait RFI et de l'urgence des réformes qui s'imposaient. Il a estimé que les difficultés rencontrées à l'heure actuelle par RFI étaient principalement de trois ordres : - d'une part, la radio doit faire face à un déficit substantiel, accumulé depuis plusieurs années ; - d'autre part, les conditions d'un dialogue constructif entre la direction et les partenaires sociaux ne sont pas réunies ; - enfin, l'a...
...a France était de ne pas dissoudre la radio dans la télévision. A cet égard, il convient de prévenir toute fongibilité des budgets entre les différentes entités qui composent l'audiovisuel extérieur français. En effet, la radio constitue un vecteur d'information incontournable dans certaines zones reculées, notamment en Afrique. Elle s'est d'ailleurs félicitée de la posture courageuse adoptée par RFI dans le traitement de la situation des Touareg au Niger. Elle a sollicité des informations complémentaires sur la négociation des modalités de licenciement et sur le calendrier envisagé.
a estimé qu'il était urgent de trouver une solution de sortie à un conflit social qui dure depuis déjà six semaines. Il a souhaité connaitre les propositions alternatives de l'intersyndicale sur le développement futur de RFI.
après avoir déploré le ton polémique des dirigeants de RFI, a déclaré qu'elle ne pouvait, dans ces conditions, continuer à participer aux travaux de la commission.
a souligné que cette audition n'était pas destinée à stigmatiser un responsable dans l'analyse des problèmes qui affectent RFI, mais qu'elle devait être l'occasion pour sa direction d'exposer à la commission les détails du projet de développement qu'elle envisage pour redresser la situation de la station. Il a souhaité ainsi avoir des précisions sur la stratégie de Radio France Internationale à moyen terme.
a insisté, quant à lui, sur l'échec de la tutelle à réformer RFI ces dernières années, ce qui a entraîné les problèmes d'aujourd'hui, et a demandé quelles étaient les perspectives de sortie de crise pour RFI.
Prenant acte du déficit de RFI, M. Ivan Renar s'est interrogé sur le périmètre des missions de RFI, sur son sous-financement chronique et sur le versement par France 24 à TF1 d'une somme de deux millions d'euros, au moment de sa sortie du capital de la chaîne internationale, ainsi que sur l'existence d'un contrat d'un montant de 1,7 million d'euros portant sur l'achat d'images de TF1.
s'est déclarée très préoccupée par le plan social mis en oeuvre à Radio France Internationale (RFI), en contradiction avec les déclarations du président de la société de l'audiovisuel extérieur de la France, M. Alain de Pouzilhac, lors de son audition du 2 décembre 2008 devant la commission des affaires culturelles du Sénat.
a souhaité faire un point sur la situation de RFI dont il est membre du conseil d'administration. Il a confirmé que, au cours des deux dernières années, la société avait accumulé les déficits en raison d'une défaillance des tutelles quant à l'orientation stratégique. Il est impératif aujourd'hui de refinancer l'entreprise et de la repositionner par rapport à ses concurrents sur tous les continents. L'audience est en effet en baisse dans nombre...