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a souhaité savoir quelle était la position de la Commission à l'égard de la notion nouvelle de « capacité d'intégration », introduite par le Parlement européen, en juillet 2008. Elle a indiqué que la Turquie ressentait une grande déception et qu'en dépit de prises de responsabilité très positives dans son environnement régional et de l'effet stabilisateur de la perspective d'adhésion à l'Union européenne, le déroulement des négociations était perçu comme démobilisateur. Elle s'est interrogée sur la façon d'entrete...
a rappelé qu'un approfondissement préalable avait déjà été présenté comme une condition à tout nouvel élargissement après 1995 et a estimé qu'une confiance limitée devait être accordée aux capacités d'approfondissement de l'Union européenne. Il s'est interrogé sur l'application aux actuels Etats membres de la notion de capacité d'intégration, telle que définie par le Parlement européen. Il a noté la grande déception de la majorité des citoyens européens pour qui la paix n'est plus un argument suffisant. Il a douté de la capacité de l'Union européenne à trouver les moyens de la mise à niveau économique et sociale des nouveaux entrants.
...sagé de rendre suspensif le recours contre les décisions de l'OFPRA prises selon la procédure prioritaire. Elle s'est également inquiétée de la politique de l'Union européenne consistant à transférer vers les pays de transit comme la Lybie la responsabilité du contrôle de nos frontières extérieures au détriment du respect des droits de l'homme. Enfin, elle a demandé si la volonté de renforcer l'intégration des migrants comprenait une meilleure intégration politique, notamment en accordant le droit de vote aux élections locales. Sur ce dernier point, M. Brice Hortefeux, ministre de l'immigration, de l'intégration, de l'identité nationale et du développement solidaire, a déclaré qu'à titre personnel il n'y était pas opposé sous réserve de la réciprocité. Sur le caractère suspensif du recours en mat...
...ée dans le cadre de la démarche euro-méditerranéenne voulue par le Président de la République. Il a ensuite critiqué le manque de moyens pour aider les étrangers ayant tout perdu dans l'incendie du centre de rétention de Vincennes, seules quelques associations dont la CIMADE étant intervenues. Enfin, s'agissant du problème des Roms, il a regretté qu'aucune réponse à long terme en faveur de leur intégration ne soit mise en place alors même qu'il s'agit de citoyens européens.