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a indiqué que, dans 6 % à 7 % des cas d'hospitalisation, en France, le malade développe une infection nosocomiale plus ou moins grave, soit 750.000 cas déplorés chaque année, avec des conséquences parfois dramatiques. Ces infections peuvent provenir d'une bactérie endogène du patient : elles sont alors imprévisibles et souvent graves lorsqu'elles surviennent dans la zone anatomique opérée ; elles peuvent être aussi causées par une bactérie exogène présente dans l'établissement de santé, chez le personnel so...
s'est étonné, au regard de la politique affichée par les pouvoirs publics d'intensification de la lutte contre les infections nosocomiales, que trois hôpitaux publics des environs d'Aix-en-Provence aient dû fermer leurs services de stérilisation, qui n'étaient plus aux normes, pour en confier l'activité à des entreprises extérieures. Il a estimé que cette décision n'est pas cohérente avec l'objectif de maîtrise du risque infectieux dans les établissements de santé. Il a souhaité, à cet égard, la mise en place d'une organisation nat...
a rappelé que l'étude conduite par le Sénat en 2006 a été confiée le 2 novembre dernier au centre national d'expertise hospitalière (CNEH). Il est demandé au prestataire de dresser un panorama de la qualité des soins dans les hôpitaux français à partir des données disponibles sur les infections nosocomiales, des outils de lutte mis en place et par comparaison avec les exemples étrangers, notamment européens. Ce travail de synthèse doit être complété par une étude des conséquences sanitaires, économiques et judiciaires des infections nosocomiales et par une analyse de la perception de la qualité des soins à l'hôpital par la population et les professionnels de santé. Deux réunions ont été organisées...
s'est interrogé sur la sous-estimation des craintes des patients par les professionnels de santé en matière d'infections nosocomiales et sur leur connaissance partielle du dispositif de réparation.
a indiqué que, selon les premiers résultats de l'étude menée par le CNEH, la prévention des infections nosocomiales par un dépistage en amont de l'admission à l'hôpital serait extrêmement coûteuse.