Interventions sur "AMM"

10 interventions trouvées.

Photo de Alain MilonAlain Milon, rapporteur :

a souhaité connaître le rôle joué par l'AFSSAPS dans le cadre de la négociation des marchés de fourniture de vaccins. Il s'est également interrogé sur l'articulation des compétences entre l'AFSSAPS et l'Agence européenne des médicaments (EMEA) dans les procédures d'AMM des vaccins, le rôle de l'AFSSAPS au sein du réseau européen des laboratoires et les relations que l'AFSSAPS entretient avec les autres agences sanitaires européennes.

Photo de Alain MilonAlain Milon, rapporteur :

a souhaité connaître le rôle joué par l'AFSSAPS dans le cadre de la négociation des marchés de fourniture de vaccins. Il s'est également interrogé sur l'articulation des compétences entre l'AFSSAPS et l'Agence européenne des médicaments (EMEA) dans les procédures d'AMM des vaccins, le rôle de l'AFSSAPS au sein du réseau européen des laboratoires et les relations que l'AFSSAPS entretient avec les autres agences sanitaires européennes.

Photo de Alain MilonAlain Milon, rapporteur :

a souhaité avoir des précisions sur les procédures accélérées de délivrance des AMM mises en place par l'EMEA pour les vaccins pandémiques.

Photo de Alain MilonAlain Milon, rapporteur :

a souhaité avoir des précisions sur les procédures accélérées de délivrance des AMM mises en place par l'EMEA pour les vaccins pandémiques.

Photo de Alain MilonAlain Milon, rapporteur :

a ensuite interrogé M. Jean Marimbert sur les procédures particulières de surveillance pharmacologique des effets indésirables des vaccins contre le virus A(H1N1)v. Rejoignant une question de Mme Marie-Thérèse Hermange, il a également souhaité avoir des précisions sur le choix du recours à deux, puis à une dose de vaccin. Il a notamment rappelé que lorsque la commission des affaires sociales a entendu, en janvier dernier, les laboratoires pharmaceutiques fournisseurs des vaccins H1N1 utilisés en France, un de leurs représentants a expliqué que le choix du vaccin à deux injections n'avait pas été fait par les laboratoires mais par les autorités des différents pays, qui avaient supposé que deux doses étaient nécessaires compte ...

Photo de Alain MilonAlain Milon, rapporteur :

a ensuite interrogé M. Jean Marimbert sur les procédures particulières de surveillance pharmacologique des effets indésirables des vaccins contre le virus A(H1N1)v. Rejoignant une question de Mme Marie-Thérèse Hermange, il a également souhaité avoir des précisions sur le choix du recours à deux, puis à une dose de vaccin. Il a notamment rappelé que lorsque la commission des affaires sociales a entendu, en janvier dernier, les laboratoires pharmaceutiques fournisseurs des vaccins H1N1 utilisés en France, un de leurs représentants a expliqué que le choix du vaccin à deux injections n'avait pas été fait par les laboratoires mais par les autorités des différents pays, qui avaient supposé que deux doses étaient nécessaires compte ...

Photo de Michel GuerryMichel Guerry, M. Jean Marimbert :

En réponse à M. Michel Guerry, M. Jean Marimbert a indiqué que les vaccins américains se distinguent des vaccins européens par deux éléments : d'une part, la procédure d'AMM dont ils ont fait l'objet est différente de celle des vaccins européens - celle-ci repose sur des travaux d'extrapolation réalisés à partir du vaccin contre la grippe saisonnière et non le vaccin prépandémique -, d'autre part, ces vaccins ne sont pas adjuvantés. Il a indiqué que ce choix de vaccins non-adjuvantés constituait un pari important compte tenu des contraintes de fabrication des laborat...

Photo de Michel GuerryMichel Guerry, M. Jean Marimbert :

En réponse à M. Michel Guerry, M. Jean Marimbert a indiqué que les vaccins américains se distinguent des vaccins européens par deux éléments : d'une part, la procédure d'AMM dont ils ont fait l'objet est différente de celle des vaccins européens - celle-ci repose sur des travaux d'extrapolation réalisés à partir du vaccin contre la grippe saisonnière et non le vaccin prépandémique -, d'autre part, ces vaccins ne sont pas adjuvantés. Il a indiqué que ce choix de vaccins non-adjuvantés constituait un pari important compte tenu des contraintes de fabrication des laborat...

Photo de Christiane KammermannChristiane Kammermann :

Interrogé par Mme Christiane Kammermann, il a indiqué que le syndrome de Guillain-Barré découle dans trois quarts des cas du virus de la grippe lui-même. Quant à l'effet du vaccin, des études tendent à écarter un lien de cause à effet entre la vaccination et l'apparition du syndrome.

Photo de Christiane KammermannChristiane Kammermann :

Interrogé par Mme Christiane Kammermann, il a indiqué que le syndrome de Guillain-Barré découle dans trois quarts des cas du virus de la grippe lui-même. Quant à l'effet du vaccin, des études tendent à écarter un lien de cause à effet entre la vaccination et l'apparition du syndrome.