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...ance de la Moselle en 2005, contre 118 en 2003 et 92 en 2004 : 16 originaires d'Afrique noire, 19 d'Europe de l'Est et 16 d'autres pays (Chine, Afghanistan, pays du Maghreb...). Il a précisé que ces mineurs représentaient 42 % du nombre total des mineurs présentés au centre, la moitié d'entre eux lui ayant été confiée par les services de police et l'autre moitié par un collectif d'assistance aux demandeurs d'asile. Il a ajouté que le nombre des jeunes en situation irrégulière excédait parfois les capacités d'accueil du département, que tous n'étaient pas mineurs et que certains, notamment originaires d'Europe de l'Est, avaient un comportement de délinquants. a ensuite évoqué les difficultés rencontrées par les départements dans l'exercice de leur compétence. Il a ainsi déploré l'insuffisance de...
...ance de la Moselle en 2005, contre 118 en 2003 et 92 en 2004 : 16 originaires d'Afrique noire, 19 d'Europe de l'Est et 16 d'autres pays (Chine, Afghanistan, pays du Maghreb...). Il a précisé que ces mineurs représentaient 42 % du nombre total des mineurs présentés au centre, la moitié d'entre eux lui ayant été confiée par les services de police et l'autre moitié par un collectif d'assistance aux demandeurs d'asile. Il a ajouté que le nombre des jeunes en situation irrégulière excédait parfois les capacités d'accueil du département, que tous n'étaient pas mineurs et que certains, notamment originaires d'Europe de l'Est, avaient un comportement de délinquants. a ensuite évoqué les difficultés rencontrées par les départements dans l'exercice de leur compétence. Il a ainsi déploré l'insuffisance de...
...ale en raison de leur connaissance de la langue française. Précisant que les filières de cette immigration n'étaient guère connues, M. Philippe Leroy a souligné que, dans le département de la Moselle, les fiches établies par les services de police étaient extrêmement succinctes et ne permettaient de connaître ni l'origine ni le parcours des mineurs. Il a observé que le collectif d'assistance aux demandeurs d'asile fournissait au conseil général davantage d'informations.
...ale en raison de leur connaissance de la langue française. Précisant que les filières de cette immigration n'étaient guère connues, M. Philippe Leroy a souligné que, dans le département de la Moselle, les fiches établies par les services de police étaient extrêmement succinctes et ne permettaient de connaître ni l'origine ni le parcours des mineurs. Il a observé que le collectif d'assistance aux demandeurs d'asile fournissait au conseil général davantage d'informations.