4 interventions trouvées.
...t. Se préoccupe-t-on de nettoyer les fenêtres quand la maison tombe en ruine ? Si l'on compare la politique française de l'emploi avec celle des autres pays, l'évidence saute aux yeux : le logiciel conceptuel à partir duquel nous raisonnons est totalement faux. La preuve, ces quelque 600 000 offres d'emploi non pourvues ; le chiffre est très choquant. En Allemagne, on considère que la création du Smic entraînera la destruction de 200 000 emplois. Nous dépensons des fortunes pour des résultats très médiocres, changeons de logiciel.
...t. Se préoccupe-t-on de nettoyer les fenêtres quand la maison tombe en ruine ? Si l'on compare la politique française de l'emploi avec celle des autres pays, l'évidence saute aux yeux : le logiciel conceptuel à partir duquel nous raisonnons est totalement faux. La preuve, ces quelque 600 000 offres d'emploi non pourvues ; le chiffre est très choquant. En Allemagne, on considère que la création du Smic entraînera la destruction de 200 000 emplois. Nous dépensons des fortunes pour des résultats très médiocres, changeons de logiciel.
...ements de cotisations à 200 000, d'autres à 800 000, d'autre encore à 1,5 million. Rapporté au coût annuel, le bilan est évidemment très différent. A votre avis, les exonérations présentent-elles un meilleur rapport coût efficacité que les autres instruments de la politique de l'emploi ? Les allègements seraient plus efficaces, nous a-t-on dit, sur les bas salaires avec un seuil de sortie de 1,4 Smic. Quelle est votre analyse ? Le coût du travail constitue-t-il, comme on l'entend souvent, le principal frein à l'embauche ? La politique de compétitivité des entreprises appartient-elle à la politique de l'emploi, sachant que la restauration des marges des entreprises ne conduit pas nécessairement à des embauches ?
...ements de cotisations à 200 000, d'autres à 800 000, d'autre encore à 1,5 million. Rapporté au coût annuel, le bilan est évidemment très différent. A votre avis, les exonérations présentent-elles un meilleur rapport coût efficacité que les autres instruments de la politique de l'emploi ? Les allègements seraient plus efficaces, nous a-t-on dit, sur les bas salaires avec un seuil de sortie de 1,4 Smic. Quelle est votre analyse ? Le coût du travail constitue-t-il, comme on l'entend souvent, le principal frein à l'embauche ? La politique de compétitivité des entreprises appartient-elle à la politique de l'emploi, sachant que la restauration des marges des entreprises ne conduit pas nécessairement à des embauches ?