Interventions sur "eau"

9 interventions trouvées.

Photo de Guillaume ChevrollierGuillaume Chevrollier :

L'accès à l'eau potable est un besoin vital, notamment pour appliquer les gestes barrières comme le lavage des mains. De quelle façon le secteur s'est-il organisé face à la crise sanitaire ? Comment l'État est-il intervenu ? L'année 2020 devait être celle de la biodiversité. Certains chercheurs estiment que les atteintes portées par l'homme à la biodiversité seraient l'une des causes de cette pandémie. A l'issu...

Photo de Patrick ChaizePatrick Chaize :

Votre ministère est en première ligne sur les secteurs stratégiques : transport, énergie, eau, déchets. Vous avez demandé aux salariés de ces secteurs stratégiques pour la vie de la Nation de maintenir l'activité dans les entreprises concernées, lesquelles sont censées mettre en oeuvre leurs PCA. EDF a mis en place un plan « pandémie », élaboré dès 2006. Avez-vous identifié des entreprises n'ayant pas activé leur PCA ? Sur quelle base légale reposent ces plans ? J'en viens aux déchets. B...

Photo de Rémy PointereauRémy Pointereau :

Je souhaite aborder la question de l'eau. Vous avez dit tout à l'heure que le service public de l'eau et de l'assainissement était assuré. Avez-vous connaissance en certains endroits de l'exercice, par les agents de ces services, de leur droit de retrait et de la mise en oeuvre de mesures de réquisition par des préfets ? Par ailleurs, un certain nombre de maires et de présidents de syndicat des eaux et de l'assainissement se posent la ...

Photo de Hervé GilléHervé Gillé :

Dans le prolongement de la question de Rémy Pointereau, certains chantiers d'utilité publique connaissent des difficultés de mobilisation des différents corps de métier. Est-il possible d'exercer une autorité de coordination et d'exécution pour les mener à terme, en appui des maîtrises d'ouvrage et maîtrises d'oeuvre ? Les préfets peuvent-ils être mobilisés sur ce sujet ?

Photo de Angèle PrévilleAngèle Préville :

Ma première question est très terre-à-terre. L'efficacité des désinfections de rues pratiquées dans certaines communes est-elle prouvée, sachant que cette désinfection se fait à l'eau de javel, avec des conséquences sur nos ressources en eau ? Ces pratiques sont-elles en train de se généraliser ? L'emploi d'eau savonneuse ne suffirait-il pas ? Faut-il améliorer la communication sur certains comportements - on m'a signalé qu'on trouvait de nombreux crachats sur les trottoirs de Paris ? Ces désinfections sont-elles uniquement destinées à rassurer la population ? Je voudrais éga...

Photo de Céline BrulinCéline Brulin :

...ir sans aucune justification à leurs demandes d'indemnisation. La puissance publique ne doit pas laisser l'ensemble de ces victimes seules face à Lubrizol ou à son prestataire. Le projet de loi ASAP nous semble tirer peu d'enseignements de la situation de Lubrizol. Madame la ministre, devant la commission du développement durable, vous aviez vous-même déclaré que cet accident était d'un type nouveau, sans victime immédiate mais avec des conséquences potentielles à plus long terme, qui nécessiterait très certainement une évolution de la réglementation ou de la législation. Le projet de loi pourrait au moins ne pas revenir en arrière en matière de droit de l'environnement. L'un des enseignements à tirer de l'incendie de Lubrizol, c'est la défiance à l'égard de la parole publique. Avoir transcr...

Photo de Jean-Pierre VialJean-Pierre Vial :

... Le principe de responsabilité s'est affiné. Il y a eu des propositions d'indemnisation des victimes de Lubrizol. On se demande si l'industriel ne fait pas un geste de psychologie commerciale pour montrer sa bonne foi, tout en essayant de passer des conventions pour solde de tout compte. Au regard de l'affaire Lubrizol, peut-on considérer que le cadre législatif est satisfaisant ? La presse a beaucoup évoqué l'indemnisation, mais nous savons peu comment les choses ont été mises en oeuvre. Il faut des versements rapides tout en évitant de priver les agriculteurs de leurs droits.

Photo de Jean-Claude TissotJean-Claude Tissot :

L'assureur de Lubrizol que nous avons entendu m'a confirmé qu'une fois l'état des lieux fait et les améliorations apportées, la prime d'assurance serait moins élevée. Quel intérêt a-t-il à encourager les modifications ? Dans cette même salle, M. Castaner a confirmé que l'eau stockée dans la darse, qui avait servi à éteindre l'incendie, était polluée. Qu'est devenue cette eau ?

Photo de Jean-Claude TissotJean-Claude Tissot :

L'eau polluée a-t-elle été rejetée à la Seine ? C'est une question fondamentale.