Interventions sur "dose"

8 interventions trouvées.

Photo de Jean-Marie VanlerenbergheJean-Marie Vanlerenberghe, rapporteur général :

Vos propos sont rassurants et en phase avec ce que nous avons entendu hier de la part de M. Véran. L'idée de planifier deux tours de vaccination au mois de juin me semble excellente. Se pose néanmoins le problème de l'approvisionnement. Vos chiffres m'ont un peu étonné : en juin, avez-vous dit, la France disposerait de 22 millions de doses de vaccin. Or le ministre de la santé a parlé hier de 21 millions de doses en mars ; on parle de 77 millions de doses en juin, sans compter Sanofi. Avez-vous des statistiques plus précises en la matière, en particulier pour la France ?

Photo de Cathy Apourceau-PolyCathy Apourceau-Poly :

Vous avez parlé de 232 millions de doses de vaccin. Je n'ai pas très bien compris à quoi correspond ce chiffre, mais je ne suis apparemment pas la seule. L'institut Pasteur de Lille avance à grands pas sur un traitement permettant d'éviter les formes graves de covid. Il demandera dans les prochains jours aux autorités de santé de pouvoir débuter les tests sur les patients. Quel est votre avis sur cette question ?

Photo de Émilienne PoumirolÉmilienne Poumirol :

Un point me paraît essentiel, à savoir le nombre de doses. Compte tenu des conditions de conservation, l'organisation de la vaccination est difficile. Je ne suis pas hostile à ce que l'armée puisse nous aider. Nous pourrions aussi faire confiance aux collectivités territoriales. Le préfet de mon département a parlé d'ouvrir un centre covid pour 50 000 habitants. Nous lui avons proposé lundi dernier d'en ouvrir plutôt un pour 25 000 habitants, car nous ...

Photo de Corinne ImbertCorinne Imbert :

Après les différentes pénuries rencontrées depuis bientôt un an, nous comprenons votre souci de bien gérer le flux de vaccins livrés sur le territoire national. Une fois reconstitué, le vaccin Pfizer-BioNTech présente un volume de 2,25 millilitres. Selon le laboratoire, on pouvait utiliser cinq doses par flacon. Vous avez autorisé l'utilisation d'une sixième dose le week-end dernier, le flacon contenant en fait sept doses et demie. C'est une bonne chose, puisque cette sixième dose représente potentiellement 20 % de vaccinés supplémentaires. Avec sept doses, ce serait 40 %. Dès lors, pourquoi ne pas autoriser le prélèvement d'une septième dose ? Dans le document qu'il a publié le 8 décembre ...

Photo de Bernard JomierBernard Jomier :

...es vies et permettre à notre société de reprendre ses activités. En novembre et décembre, les documents de la Haute Autorité de santé (HAS) prévoyaient la vaccination de 14 à 15 millions de personnes au premier trimestre ; puis la campagne a démarré très lentement et cet objectif est devenu moins crédible. Vous venez cependant d'annoncer que nous disposerions au premier semestre de 77 millions de doses. Sachant qu'il en faut entre 25 et 30 pour vacciner les personnes vulnérables, celles-ci seront-elles vaccinées à la fin du premier trimestre ou plutôt pendant le second ? C'est très important, car cela correspond au calendrier de régression des mesures de restriction d'activité. Avec 77 millions de doses, nous dépassons largement la vaccination des personnes vulnérables ; envisagez-vous, dans ...

Photo de Olivier HennoOlivier Henno :

La vitesse de livraison des doses dépend-elle uniquement de la capacité de production des laboratoires, ou dépend-elle aussi du prix des vaccins extrêmement variable d'un vaccin à l'autre ?

Photo de Christine Bonfanti-DossatChristine Bonfanti-Dossat :

... m'avez rassurée lorsque vous avez dit que les élus locaux seraient maintenant concernés : c'est une bonne nouvelle. Le Lot-et-Garonne, comme le reste de la France, reste désemparé devant l'impréparation qui caractérise la campagne de vaccination française. Hier matin, notre rencontre hebdomadaire avec le préfet n'a pas été très optimale. Le Lot-et-Garonne fait face à une double difficulté : les doses de vaccin sont insuffisantes, si bien que les congélateurs prêts à recevoir les injections restent majoritairement vides, et, comme beaucoup d'autres départements français, il compte des déserts médicaux, avec des médecins généralistes déjà saturés. Vous venez de dire que les médecins généralistes retraités pourront aussi vacciner, c'est une bonne chose - et c'était la demande faite par le Conse...

Photo de Bernard BonneBernard Bonne :

On évoque un taux de perte de 30 % dans les centres de vaccination. Les doses non administrées à des personnes prioritaires ne pourraient-elles pas l'être à d'autres, sans considération de critères, pour éviter les pertes ?