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Comme mon collègue Claude Léonard dans une vie antérieure, j'ai défendu l'implantation du laboratoire de Bure dans la Meuse. Or j'ai été troublé il y a quelque temps par une polémique, dont la presse s'est fait l'écho, entre EDF et Areva d'une part, et l'Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs, l'ANDRA, d'autre part, sur les pr...

On est en général informé des polémiques lorsqu'elles commencent, plus rarement lorsqu'elles s'achèvent.

Comme mon collègue Claude Léonard dans une vie antérieure, j'ai défendu l'implantation du laboratoire de Bure dans la Meuse. Or j'ai été troublé il y a quelque temps par une polémique, dont la presse s'est fait l'écho, entre EDF et Areva d'une part, et l'Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs, l'ANDRA, d'autre part, sur les pr...

On est en général informé des polémiques lorsqu'elles commencent, plus rarement lorsqu'elles s'achèvent.

Ma question s'adresse à Mme la ministre du budget, des comptes publics et de la réforme de l'État, porte-parole du Gouvernement. Les sidérurgistes de Florange manifestent aujourd’hui avec l’énergie du désespoir. Ce qui se joue, ce n’est ni plus ni moins que la survie de la sidérurgie lorraine. Fils de sidérurgiste, j’ai vécu depuis mon enfanc...

On connaît la suite : 33 000 suppressions d’emplois après la nationalisation de la sidérurgie. Pendant ces années terribles, ni lui ni aucun de ses ministres ne s’est rendu sur un site sidérurgique, se contentant de nommer préfet délégué un syndicaliste, Jacques Chérèque, pour « traiter » les sidérurgistes. Puis, sous le gouvernement Jospin, ...

Arcelor avait annoncé en 2003 la fermeture de la filière fonte à Florange à une échéance de dix ans. On pensait alors que la filière électrique, non dépendante du minerai venant de la mer, assurerait l’avenir de la sidérurgie continentale, ce qui explique l’incompréhension qui a suivi l’annonce de la fermeture de l’aciérie électrique de Gandran...

Il a dit qu’il ferait tout son possible pour éviter la fermeture de l’aciérie, sinon soutenir un plan de reprise ou, à défaut de repreneur, des mesures de compensation. Celles-ci se concrétisent : centres de formation d’apprentis, Fonds lorrain des matériaux, centre de fabrication de poutres, investissements dans le laminoir... Surtout, Mittal ...

Ont ainsi été inscrits au budget de l’État 150 millions d’euros. Avec la crise, Mittal a annoncé la fermeture provisoire, pour six mois, des hauts fourneaux supports de ce projet. L’État a financé le chômage technique à hauteur d’un million d’euros.

M. François Grosdidier. Alors que Mittal diffère encore la réouverture des hauts fourneaux, alors que les sidérurgistes lorrains se sentent floués et redoutent le coup de grâce, comment le Gouvernement veut-il et peut-il forcer le destin de la sidérurgie lorraine, française et européenne ?