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s'est demandé si les présentatrices des journaux télévisés, dont le contenu est élaboré par des rédactions essentiellement masculines, ne jouaient pas un rôle de « femme-alibi ».
a ensuite évoqué une tendance à la « victimisation » de l'image de la femme dans les médias, les sujets choisis présentant souvent les femmes comme victimes, au lieu de les valoriser.
a souligné la corrélation existant entre l'insuffisance de la présence des femmes dans les instances de décision des médias et le déséquilibre du traitement des sujets dans l'information.
Enfin, Mme Gisèle Gautier, présidente, a évoqué l'idée de proposer la création d'un prix officiel tendant à récompenser une entreprise de médias dont le comportement serait exemplaire en matière de parité entre les femmes et les hommes.
a rappelé, en qualité de présidente de la délégation aux droits des femmes et à l'égalité des chances entre les hommes et les femmes, que cette délégation a publié un rapport recommandant la mise en oeuvre d'une étude statistique fiable sur ce sujet, pour permettre au législateur de disposer de données récentes. Elle a estimé que l'âge de l'enf...
a demandé comment s'apprécie le « fréquemment », considérant que les relations avec l'autre parent sont indispensables à l'équilibre de l'enfant.
a tout d'abord fait une rapide présentation des travaux de la délégation, en soulignant que ses différents rapports comportaient des recommandations destinées à parvenir à une meilleure égalité des chances entre les femmes et les hommes. Elle a ensuite précisé que la délégation avait décidé, cette année, de choisir comme sujet d'étude le thème ...
a ensuite mentionné les principaux résultats de l'enquête de l'AFJ sur la place des femmes dans le contenu des médias, soulignant que les femmes ne représentaient qu'environ 17 % des personnes citées dans la presse. Puis, évoquant la notion de « plafond de verre », elle a demandé aux intervenantes, eu égard à leur expérience professionnelle, si...
Après avoir salué la présence de ses collègues masculins Jean-Guy Branger et Jean-François Picheral, Mme Gisèle Gautier, présidente, a récapitulé les questions posées aux intervenantes. Rappelant que l'on considère souvent que les femmes ont une pratique politique différente de celle des hommes, elle s'est demandé si, de même, les femmes avaien...
a conclu en remerciant chaleureusement les intervenantes et en évoquant, à son tour, la nécessité de poursuivre l'effort en faveur de l'égalité des chances entre femmes et hommes au moyen, notamment, du développement de réseaux de solidarité.
après avoir rappelé le thème d'étude retenu par la délégation pour son rapport d'activité annuel, et l'organisation, le 20 février 2007, d'une audition publique, sous la forme d'une table ronde, sur le thème : « Les femmes ont-elles toute leur place dans les médias ? », a noté que les femmes étaient relativement présentes dans les professions d...
a constaté que, lors d'émissions de télévision auxquelles elle avait participé, un journaliste avait présenté Hélène Lazareff, fondatrice du magazine « Elle », comme « la femme de » Pierre Lazareff, tandis qu'un autre journaliste avait relativisé le phénomène des violences envers les femmes.
s'est interrogée sur le niveau de formation et de rémunération des femmes journalistes.
s'est demandé si une femme occupant un poste de responsabilité au sein d'une rédaction se montrait solidaire de ses collaboratrices.
s'est demandé si la nomination de femmes journalistes à certaines fonctions, en particulier à la télévision, n'était pas exagérément déterminée par leur aspect physique.
s'est étonnée de la passivité de l'opinion publique face à l'utilisation des femmes comme « faire valoir » dans les médias.
a insisté sur la méconnaissance de ce sujet dans l'opinion publique.
a souligné le rôle essentiel des médias pour atteindre cet objectif, dans la mesure où ils contribuent à formater l'opinion publique.
a fait observer qu'un discours identique était tenu s'agissant de l'accès des femmes aux responsabilités politiques.
constatant que le mot « féminisme » était devenu péjoratif, s'est demandé quel autre terme utiliser pour faire avancer la cause des femmes.