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Égalité des chances


Les interventions de Hélène Luc


Les amendements de Hélène Luc pour ce dossier

65 interventions trouvées.

Les jeunes vous ont répondu, mais vous ne les entendez pas ! Allez demander aux jeunes de Créteil ce qu'ils en pensent !

Quelqu'un a raison, monsieur Pelletier ! Il faut prendre vos responsabilités ! Il faut avoir le courage de ses opinions !

Souffrez d'entendre ce que j'ai à vous dire ! Nous assistons, je le répète, à une discussion paradoxale, empreinte, vous le prouvez, de mépris pour les enfants en difficulté, dont les parents sont souvent eux-mêmes en difficulté, mais pas toujours, loin s'en faut. Si vous êtes honnêtes, mesdames, messieurs les sénateurs de la majorité, ...

...vous devez reconnaître que les difficultés de ces familles ne font que refléter celles de la société. Au cours de la discussion de la loi Fillon - il est d'ailleurs dommage que M. Fillon ne soit pas présent ce soir -, j'avais interpellé le ministre au sujet de la responsabilité de l'éducation nationale quant à la nécessité de dépister les d...

Non, monsieur Gournac, vous n'avez pas entendu ce que je vais dire ! Mme Gautier, présidente de la délégation aux droits des femmes et à l'égalité des chances entre les hommes et les femmes, pourrait le confirmer si elle était présente : M. Martin Hirsch nous a suppliés de ne pas adopter les mesures proposées dans le projet de loi gouvernement...

Mme Hélène Luc. J'ai moi-même étudié ces problèmes pendant de nombreuses années, et je vous demande de ne pas adopter cet article.

Les comptes pour le développement industriel constituent l'un des outils de ce que d'aucuns appellent l'« épargne administrée », mais participent concrètement d'un ensemble de ressources financières peu coûteuses disponibles pour les entreprises. Comme chacun le sait, l'encours des CODEVI est relativement important, dépassant 30 milliards d'eu...

C'est parce qu'il convient de créer ce cycle vertueux de financement que nous vous invitons à adopter ce sous-amendement.

L'article 7 du présent projet de loi élargit les conditions d'application de l'article 44 octies du code général des impôts, puisqu'il vise à le doubler d'un nouvel article qui ajoute encore des dispositions pour tout ce qui concerne les zones franches urbaines. Pour les 37 000 entreprises implantées dans les zones franches urbaines, le...

Mme Hélène Luc. Je voudrais d'abord répondre à M. de Rohan. Heureusement que personne n'a le monopole de la jeunesse ! Parce que la jeunesse est libre. Elle est capable de travailler et de dire ce qu'elle veut. N'ayez crainte, mardi prochain, vous vous en rendrez compte !

Pourquoi cela n'aurait-il rien à voir ? Nous venons justement de parler des jeunes et de leurs difficultés ! Chaque année, trois semaines après la rentrée des classes, dans le Val-de-Marne, en liaison avec l'inspection académique, le conseil général organise des stages en entreprise pour tous les lycéens qui n'ont pas encore d'établissement sc...

Une enquête dans le Val-de-Marne a révélé que certains jeunes devaient se contenter des restes de la cantine pour pouvoir manger à midi. Le conseil général a alors décidé de verser une prestation supplémentaire aux familles afin de les aider à se nourrir.

À partir de ce jour-là, le nombre de collégiens mangeant au moins un bon repas à midi a augmenté de 38 %.

Tous ces jeunes font partie des nouveaux pauvres, dont Martin Hirsch nous a parlé. Ces enfants en lycée professionnel, qui partent souvent très tôt le matin, car ils habitent loin, ne mangent pas à midi. Entendez cela ! Mes chers collègues, vous n'avez pas non plus le monopole de l'entreprise.

Dans les départements et les communes que nous dirigeons, renseignez-vous auprès du responsable départemental du MEDEF, par exemple celui du Val-de-Marne ou de Seine-Saint-Denis, et ils vous diront ce que font les conseils généraux pour faciliter la venue des petites entreprises, les aider à s'installer ou créer avec elles des partenariats dans...

Non seulement la majorité sénatoriale ne participe au débat, mais, maintenant, c'est aussi le cas du ministre !

En abaissant l'âge de l'apprentissage à quinze ans, au lieu de seize ans actuellement, le Gouvernement a habilement trouvé le moyen de permettre aux jeunes apprentis de travailler non seulement la nuit, mais également le dimanche, et ce dès l'âge de quinze ans ! Nous avons, dans nos précédentes interventions, dénoncer cette situation, notammen...

Ce texte mettant en oeuvre l'apprentissage junior ne fait que dévaloriser un peu plus l'apprentissage et les enfants qui suivront cette voie. Le Gouvernement cherche à écarter le plus tôt possible de l'enseignement général des enfants qu'il considère comme des cas désespérés n'ayant pas le droit à l'acquisition des savoirs dans les mêmes condit...

Je conclus, monsieur le président ! Car nous avons des ambitions pour eux ! Nous les encourageons à devenir de bons ouvriers, car c'est un beau métier. Mais quand ils préparent un CAP ou un BEP, ils ont des difficultés à trouver un stage en entreprise. Vous le savez, monsieur le ministre, et peut-être nous répondrez-vous sur cette question pré...

Les salariés doivent donc travailler à n'importe quel prix et n'importe quand, comme vous l'avez affirmé vous-même sur Public Sénat ? Ce n'est pas cela, le travail !