On peut toujours avoir pour dessein politique, comme c'est votre cas, le partage de la pénurie, mais le chômage structurel que nous subissons depuis trente ans est la conséquence implacable d'une trop grande pression fiscale et réglementaire, d'un marché du travail trop rigide, d'une politique budgétaire erratique, d'un euro trop fort et, enfin, d'une politique d'innovation et de recherche trop faible, et surtout trop étatisée.