Nous sommes d'accord sur ce point, d'autant que vous avez vous-mêmes, durant toutes ces dernières années, utilisé ce levier fiscal, mais dans un sens qui ne nous paraît pas satisfaisant.
En effet, tout le monde le constate aujourd'hui, ce capitalisme financier exacerbé, qui a été un peu la toile de fond des actions engagées depuis dix ans, a conduit à une politique fiscale favorisant les très grandes entreprises, sociétés du CAC 40, qui ne payaient que 8 % d'impôt sur les sociétés, alors que le taux d'imposition des PME était de 22 % ou 23 %.