Ne pensez-vous pas qu'il faudrait également travailler à la revalorisation des métiers ?
Prenons, par exemple, le secteur de la petite enfance. Les hommes ont investi ces métiers - en crèche, comme éducateurs de jeunes enfants ou auxiliaires de puériculture - mais on voit bien qu'ils n'y restent pas longtemps : soit ils s'en servent comme d'un tremplin pour accéder à des postes à responsabilités, en tant que directeurs de crèches par exemple, soit ils cherchent de la visibilité en évoluant vers des métiers moins difficiles, mais plus valorisants.