En tant qu'éditeur j'ai créé une revue publiant des nouvelles dont les auteurs sont rémunérés grâce à la vente de la revue.
Pour le reste, j'ai intégré le « Droit du Serf » parce que je suis favorable à l'édition numérique et que j'estime qu'elle est actuellement réalisée au détriment de l'auteur. Parallèlement, j'ai décidé de mettre en place une coopérative d'éditeurs entièrement numériques, pour leur offrir une alternative au système prévu par la loi. La structure technique est actuellement en voie de développement et l'on estime pouvoir rétribuer les auteurs à hauteur de 50 % du prix.