Cet amendement vise à défendre nos commerces de bouche, en particulier dans les centres-villes.
Ces commerces voient en effet leur nombre s’amenuiser de plus en plus dans les centres-villes, où ils sont bien souvent remplacés par des banques, des agences immobilières ou des magasins de téléphonie. Les habitants éprouvent des difficultés croissantes à trouver un marchand de fruits et légumes, un boucher, un charcutier ou un traiteur de qualité.
Notre amendement a donc essentiellement pour objet de remédier à cette situation.