Je me permets de revenir très brièvement sur les petits excès de vitesse. Pour les chauffards, tout le monde est d’accord, mais ce sont les plus petits qui font toujours les frais de la politique mise en place et les Français ont l’impression d’un véritable matraquage fiscal.
Sur les possibilités de contestation, il y a du flou. Je suis prêt à me rapprocher du délégué interministériel à la sécurité routière, mais, d’une manière générale, les choses ne se passent pas très bien. Les gens rencontrent des difficultés pour contester et ils finissent par payer des amendes très fortes devant le tribunal. Il faut donc, me semble-t-il, examiner cette question de près. Vous vous êtes montré ouvert au dialogue, monsieur le ministre : je vous en remercie et je me rapprocherai donc de votre ministère et du délégué.