Il a ainsi renforcé la compétitivité de nos entreprises, avec la mise en place d’une TVA anti-délocalisation ou la défiscalisation des heures supplémentaires. Autant de solutions dont le récent rapport de la Cour des comptes semble indiquer qu’elles vont dans le bon sens, celui d’une rationalisation de la dépense publique et d’un soulagement fiscal, quand le poids de l’impôt se fait pénalisant pour l’activité économique.
Tous les pays touchés par la crise ont compris que nos États ne pouvaient vivre indéfiniment au-dessus de leurs moyens et qu’il fallait accepter la règle d’or budgétaire. Le seul parti d’Europe qui refusa alors d’entendre cette réalité est le vôtre, monsieur le ministre délégué.
Aujourd’hui encore, l’idéologie vous aveugle et vous emmenez la France sur le chemin de la banqueroute.