A Londres, le président de la République s'est engagé à sanctuariser le budget de l'enseignement français à l'étranger. Pouvez-vous nous confirmer que l'argent économisé grâce à la suppression de la prise en charge (PEC) des frais de scolarité resterait à l'enseignement français à l'étranger ? En outre, ne conviendrait-il pas de prévoir une réserve pour la construction de nouveaux établissements, compte tenu de l'afflux d'une nouvelle clientèle, à Londres, à Bruxelles, et bientôt en Suisse ?