Il y a lors des débats parlementaires de grandes plages d'ennui, durant lesquelles on ne traite que de questions techniques, notamment juridiques et fiscales. On peut ainsi discuter pendant des heures, sans changer quoi que ce soit aux textes. Cela fait partie du jeu !
À d'autres moments, en revanche, quelque chose apparaît brusquement. Cela vient de se produire à l'occasion de l'examen de l'amendement de notre collègue Serge Dassault, dont chacun connaît la doctrine, la personnalité et les positions politiques. Une sorte de haine est en effet apparue du côté de l'extrême gauche.