À l'époque, le président sorti nous promettait qu'il serait le président, non pas du pouvoir d'achat, mais de l'augmentation du pouvoir d'achat. Et, en effet, la première mesure prise a consisté à mettre en place le bouclier fiscal…
Il s'agissait d'éviter que les plus fortunés quittent notre pays, et même les faire revenir. J'attendais donc avec impatience le retour d'un ami du Président de la République, M. Johnny Hallyday. Mais celui-ci avait dû comprendre que la politique du Président Sarkozy était à l'image de sa chanson : « Noir c'est noir, il n'y a plus d'espoir ».