M. André Ferrand. Je ne voudrais surtout pas que l'on pense pour autant que je suis partisan de l'article 23. Je fais partie de ceux qui estiment, comme l'a excellemment dit Fabienne Keller, qu'il n'est pas sérieux d'augmenter les dépenses de l'État par cette embauche de nouveaux titulaires de l'éducation nationale alors que l'on sait que les causes des difficultés que connaît celle-ci sont tout à fait ailleurs que dans un problème d'effectifs.