Bien sûr ! Il appartiendra à ce groupe de travail d'être véritablement une force d'intervention pour faire bouger certaines lignes. En dernier recours, il nous restera l'interpellation du Gouvernement, car la problématique est compliquée. J'en discutais hier avec la ministre de l'Égalité des territoires : il est évident qu'elle n'a pas la main sur cette question-là. C'est certes un problème d'aménagement du territoire, mais il y a au moins deux ou trois ministères concernés. Notre groupe, toutes représentations politiques réunies, devra être déterminé, jusqu'à mettre le Gouvernement devant ses responsabilités.