M. de Legge ayant évoqué ce que j’ai dit ici ce matin, je voudrais lui répondre.
D’abord, j’ai tenu les propos en question en réaction à une interpellation ou à une argumentation de l’un de vos collègues. Je vous convie, mon cher collègue, à relire le compte rendu : vous y trouverez des éléments précis.
Pour ce qui est des éléments que vous avez commentés à l’instant, je vous invite à relire le rapport. Vous y constaterez que les chiffres que vous avez cités sont totalement faux…