a rappelé au préalable que cette audition s'inscrivait dans la perspective de la certification des comptes de l'Etat prévue par l'article 58-5° de la LOLF, dont la crédibilité reposerait sur la qualité du bilan d'ouverture au 1er janvier 2006. Il a souligné l'importance d'un provisionnement exhaustif des risques auxquels était confronté l'Etat. Il s'est par ailleurs demandé s'il ne faudrait pas inscrire au passif les obligations de l'Etat au titre des versements aux régimes spéciaux de retraite, souhaitant enfin qu'une solution appropriée soit trouvée pour le service annexe d'amortissement de la dette de la SNCF (SAAD), qui ne figurait aujourd'hui ni dans les comptes de l'Etat, ni dans ceux de l'entreprise publique.