a déclaré que l'opinion publique alsacienne était troublée par l'idée que le trajet entre Paris et Strasbourg coûterait 25 % plus cher dès lors que cette desserte serait réalisée par le TGV Est. Rappelant que les régions concernées avaient contribué au financement de cette LGV, il s'est étonné que l'on puisse vouloir taxer encore le voyageur, ce qui était d'autant plus problématique que celui-ci ne disposerait pas de la possibilité de trajets moins chers et moins rapides. Il a également souhaité savoir comment ces tarifs avaient été calculés et a estimé qu'il était nécessaire que la SNCF communique sur ce point, sous peine que le public soit déçu, à la mise en place du TGV Est.