a souhaité savoir quel était l'état des relations entre la SNCF et RFF et entre la SNCF et les régions, en particulier concernant les arbitrages entre les dessertes locales et les grandes lignes. Estimant que les régions devaient pouvoir négocier avec RFF et la SNCF pour restructurer le réseau, il a pris l'exemple de la desserte Lille-Maubeuge, où la vitesse était limitée par 71 passages à niveau. Il a également demandé si l'ouverture à la concurrence n'entraînerait pas la tentation pour RFF de relever ses prix et s'est interrogé sur la régulation des péages ferroviaires. Il s'est ensuite interrogé sur l'absence de promotion commerciale du réseau Intercités qui l'amenait à penser que la SNCF attendait sa disparition. Enfin, il a regretté que des gares puissent rester sans personnel, devenant des espaces abandonnés et donc livrés aux dégradations. Il en a conclu qu'il devait y avoir des limites aux réductions de personnels.